dimanche 17 novembre 2013

En bref…Les États généraux du féminisme du 14 au 17 novembre 2013!


Les États généraux du féminisme sont maintenant de nos mémoires et archives!  Ils m’ont permis de confirmer le besoin  d’une distance avec la Fédération des femmes québécoises (FFQ), lequel besoin m’interpellait depuis 2012.  Je compte revenir sur les détails dans un proche avenir. 

En bref…disons que par les États généraux se confirme mon refus de toute manipulation à travers théories et idéologies.  Je suis dégoutée  par la manipulation des idéologies, mais aussi par les stratégies de musellement  intervenant alors qu’on se veut " reflet de la démocratie" en marche!   Je l’ai rêvé cette parfaite symbiose alors qu'elle se fait toujours attendre...et les États généraux m'ont permis d'en faire le constat.  Au premier degré,  il reste encore à travailler sur l’éducation de la base face aux théories et idéologies.  Sans oublier la liberté d’expression, et ce,  en dehors de menaces subtiles visant à museler.

La FFQ est en mutation et certaines des propositions venaient le confirmer officiellement à travers l’intersectionnalité.  De même, par cette intention d’explorer les théories – pratiques – idées des Mouvements GBTQLA (Lesbiennes-Gais-Bisexuels-Transexuels-Queers-Intersexuels-Asexuels) en vue de saisir des opportunités de luttes communes dans des perspectives féministes. 

Ce qui met en compte la volonté d’actualiser des intentions politiques où la consultation pourrait se voir – encore là – manipulée et à contre courant de mes idéaux  philosophico-politiques.


dimanche 3 novembre 2013

En bref... Prendre acte ...d'Andrée Yanacopoulo - Ma réflexion critique

Le propos est intéressant tout en faisant émerger le parcours original d'une femme qui, bien avant l'heure du féminisme, aura vécu ses attirances pour les hautes sphères du savoir tout en affichant  des intérêts dépassant le cadre de la famille.

Il faut admettre que par cette publication,  l'auteure ouvre sur un versant intimiste de la vie d'Hubert Aquin tout en nous tenant éloignés de l'intimité des lieux. Pour ma part, j'aurais voulu plus d'abandon.!  Trop souvent l'auteure se protège par le discours elliptique et même si  certains faits sont abordés, elle nous laisse ignorer la vérité profonde de moments particulièrement chargés.  Je ne ferai référence qu'à  l'oeil crevé ou aux moments renvoyant au désordre épileptique...mais aussi à la violence.

Ainsi jusqu'à la fin... l'ambiguité  puisqu'on demeure dans l'ignorance de ce qu'elle aura voulu livrer en signalant (p. 203) la liaison d'Hubert Aquin avec C.R.

Il en aura été de même pour le premier mari,  lequel arrive très vite...pour disparaître dans la nébuleuse d'un couple dysfonctionnel.

Et pourtant, malgré la retenue du ton,  le livre est intéressant du début à la fin.

Qualité de vie et zonage du territoire



Malgré la transition que vit le comité environnement, une rencontre formelle s’est tenue lors du deuxième mardi d’octobre.   L’ordre du jour présentait  trois volets liés à la pollution sonore.

Les volets 1 et 2  ramenaient à  l’ensemble de la problématique à travers la délinquance et le nouveau zonage.  De fait, nous avons appris par les médias qu’un zonage mixte et vertical fera intervenir de nouvelles facettes de pouvoir,  tant pour les propriétaires de ces mégastructures que pour le pouvoir politique.  L’enjeu est capital par rapport à la qualité de vie du territoire. 

Cette rencontre élargie nous a permis de bien cerner les facettes de la délinquance sur de Gaspé.   Ce qui permet la préparation d’une démarche dite de  « bonne entente » auprès du propriétaire de la mégastructure voisine, et par une approche bien calibrée,  le saisir de la vie nocturne  des derniers mois.

Le volet 3 se voulait dédié  à la présentation du sondage sur la pollution sonore effectué par l’équipe du  Dr Leroux de l’Université de Montréal.  Une contrainte d’agenda l’a empêché d’être parmi nous.  Nous anticipons ladite présentation pour novembre.

Dans le feu des échanges sur les  différents volets de la pollution sonore, on convient de la nécessité de maintenir la visibilité politique du dossier.  De ce fait,  on veut profiter des élections municipales pour signaler nos attentes aux futurs élus.  Comme ils doivent nous visiter prochainement,   on opte pour la stratégie de trois questions à soumettre à chacun des partis.   Ce qui permettra  à l’ensemble des locataires d’afficher des préoccupations et attentes communes  en regard de la qualité de vie du territoire, tout en sondant de près le penchant des politiciens face à l’évolution  d’un milieu de vie à cheval entre la zone résidentielle et industrielle.