samedi 25 avril 2015

En bref...Les 75 ans du DROIT de vote des femmes!

Par le texte intitulé "Ce que nous devons à Thérèse Casgrain" (Julie Latour,  Avocate et ancienne bâtonnière du Barreau de Montréal - Le Devoir, 24 avril 2015)  vient nous rappeler à la longue marche de Thérèse Casgrain, porte-parole de cette  première délégation qui, le 7 février 1922, se rendit à l'assemblée législative pour l'obtention du droit de vote des femmes. Combat qui,  à partir de 1927, se fera sous l'égide du Comité provincial pour le suffrage féminin et qui, avec Madame Casgrain, présentera annuellement ce projet de loi renvoyant au droit de vote des femmes.

Avec Me Julie Latour, reconnaissons la résilience d'une femme qui, malgré les échecs,  gardait espoir  tout en sachant  habilement élargir le parrainage de son  projet,  malgré les pressions politiques d'un milieu  hostile au pouvoir des femmes.


A l'heure d'un féminisme où, trop souvent, il est dit que l'inégalité est chose du passé, il s'avère  judicieux de la part de Me Julie Latour de nous rappeler à certains combats actuels mettant en compte les inégalités. Plus particulièrement en ce qui touche la laicité, à savoir: : "le rapport de la Commission de consultation sur les pratiques d'accommodement reliées aux différences culturelles, codirigée par Gérard Bouchard et Charles Taylor, aurait été tout autre si une femme y avait contribué à titre de coprésidente"    Il aurait fallu, selon Me Latour, accorder davantage d'importance au droit fondamental des femmes,  à l'égalité et aux mesures requises,  afin qu'il ne soit pas mis en péril pour des motifs religieux ou culturels. 

Le texte a le mérite de renvoyer au sens sous différents volets,  notamment   sur le plan de l'équilibre et de la résilience.  De même par rapport à la longue marche d'un féminisme de combat qui, dans les faits, s'inspire des valeurs humanistes.

samedi 4 avril 2015

L'éveil au verdissement et au renouvellement!



Même si le comité environnement n'est plus, avec la venue du printemps s'introduit l'éveil de la nature et, bien sûr, la remise en question de la participation des uns et des autres. Cela dit, en admettant que d'année en année, tout bénévolat mérite d'être repensé. Je me dois d'avouer mon propre questionnement quant aux transformations qui méritent de s'appliquer. Cela dit en admettant l'importance d'un questionnement, mais aussi de la mise en commun de nos interrogations en regard de défis acceptables.

Voilà pourquoi j'envisage une rencontre informelle, laquelle regrouperait autant les bénévoles du passé que ces nouveaux locataires désireux d'une implication concernant les défis environnementaux du prochain été. L'an passé, on a vu se former des équipes de deux et trois personnes pour une même zone de verdissement. Ce qui allégeait tout en orientant vers de beaux modèles de participation citoyenne.

Nous avons besoin de l'apport constructif des uns et des autres...pour l'établissement de profils renouvelant les défis de la belle saison.Sans la participation volontairement assumée en solo et/ou en équipe, le territoire de nos défis restera dans l'abandon!

Une rencontre de groupe pourrait vraisemblablement se tenir à partir de la semaine du 20 avril, voire un peu avant pour peu que l'arrondissement nous signale des échéanciers par rapport à la prise en charge des végétaux. La dynamique de la rencontre permettra une discussion ouverte concernant les défis de la cellule environnement pour l'été 2015 tout en ouvrant sur un partage favorisant la formation d'équipes.

Quant à la date...celle-ci vous sera signalée en temps et lieu sur les babillards sous le titre : «  Défis de verdissement de l'été 2015 – Rencontre en vue de former les équipes  ».