Malgré la
transition que vit le comité environnement, une rencontre formelle s’est tenue
lors du deuxième mardi d’octobre.
L’ordre du jour présentait trois
volets liés à la pollution sonore.
Les
volets 1 et 2 ramenaient à l’ensemble de la problématique à travers la
délinquance et le nouveau zonage. De
fait, nous avons appris par les médias qu’un zonage mixte et vertical fera
intervenir de nouvelles facettes de pouvoir,
tant pour les propriétaires de ces mégastructures que pour le pouvoir
politique. L’enjeu est capital par
rapport à la qualité de vie du territoire.
Cette
rencontre élargie nous a permis de bien cerner les facettes de la délinquance
sur de Gaspé. Ce qui permet la
préparation d’une démarche dite de
« bonne entente »
auprès du propriétaire de la mégastructure voisine, et par une approche bien
calibrée, le saisir de la vie
nocturne des derniers mois.
Le volet
3 se voulait dédié à la présentation du sondage sur la pollution sonore effectué par l’équipe du Dr Leroux de l’Université de Montréal. Une contrainte d’agenda l’a empêché d’être
parmi nous. Nous anticipons ladite
présentation pour novembre.
Dans le
feu des échanges sur les différents
volets de la pollution sonore, on convient de la nécessité de maintenir la
visibilité politique du dossier. De ce
fait, on veut profiter des élections
municipales pour signaler nos attentes aux futurs élus. Comme ils doivent nous visiter
prochainement, on opte pour la
stratégie de trois questions à soumettre à chacun des partis. Ce qui permettra à l’ensemble des locataires d’afficher des
préoccupations et attentes communes en
regard de la qualité de vie du territoire, tout en sondant de près le penchant
des politiciens face à l’évolution d’un
milieu de vie à cheval entre la zone résidentielle et industrielle.
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