dimanche 15 décembre 2013

Désaccord sur le virage de la FFQ


Comme militante féministe, je vis l’heure d’une rupture radicale avec la Fédération des femmes québécoises (FFQ) (1).  Que je dise tout d’abord que la poursuite de mes combats féministes à l’intérieur de l’agenda de la FFQ  était devenu conflictuel,  tant pour mon identité politique que pour mes valeurs.

Ce qu’avec d’autres, j’entendais  soulever  par les débats des États généraux du féminisme n’aura pas eu cours, compte tenu d’un dirigisme orchestré.  Vaines attentes autour d’un événement clé venant confirmer que la  FFQ  est plus gouvernée par  l’intelligentsia des lieux que par sa base. Ce que j’avais déjà dénoncé. (2)   Le colloque des 25-26 mai 2013 m’avait néanmoins éveillée à quelques espérances en lisant l’analyse critique d’une intelligentsia s’accusant de trop travailler  en silo!

Un coup de force que ce virage évacuant toutes nos attentes, et ce,  au détriment de la libre expression!   Ce qui venait en avant-plan :  l’intersectionnalité.  Une terminologie faisant  référence aux théories des dernières décennies  en lien avec les oppressions. (3)   Vu sous l’angle de l’intersectionnalité, le féminisme aura fort à faire pour éduquer à des volets d’oppressions qui engagent à la lutte des classes.

Lisez la totalité de ce texte en ligne sur le site de Sisyphe.org ou sur le site de l'Aut' Journal.

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