J'ai longtemps fait du Premier de l'An....un retour sur le bilan des accomplissements de la dernière année. C'était une forme de spiritualité que ce prolongement menant aux résolutions du Nouvel An!
Révélation ultime de la dernière décennie: le Premier de l'An a cessé de m'inviter à cette forme de méditation. Est-ce parce que la globalité de la vie veut, au présent, prendre toute la place? Est-ce plutôt parce que la précarité d'une vie humaine vient, avec l'âge, se révéler comme du temps "non durable"? Serait-ce davantage parce qu'à travers les disparitions tout autour de nous se recoupe le rôle de témoin de la précarité d'une vie?
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