Par : Jeanne Gagnon
A travers mon implication citoyenne, j’ai pu rendre compte de la feuille de route du comité environnement de la Résidence Mile-End. Ce que je continuerai de faire tout en optant pour la préservation de la totale liberté d’expression. Ce qui veut dire que les futurs textes m’engageront unilatéralement.
Évidemment, à l’occasion, quelques textes pourront impliquer la signature des membres du comité environnement. Je donnerai pour exemple concret ce qui, à l’occasion, voudra une diffusion plus officielle. Ce qui interfère par une signature des textes par le comité environnement. Ce modèle de publication officielle pourrait intervenir à brève échéance avec le bilan post sondage lié à la pollution sonore.
Par liberté d’expression, j’entends poursuivre une réflexion personnelle qui s’est amorcée depuis le début, réflexion mettant en compte des défis citoyens par des aînés. Défis pouvant également s’allier à des défis de quartier. Je l’ai fait depuis la première heure sous l’angle de la démocratie participative. Aujourd’hui, je le ramène en avant-plan. On en trouve la trace d’origine dans le bulletin L’Arc en ciel – vol 2 no 2, p. 15. Ce qui permet de replacer mes propos dans un contexte qui, par la suite, va se préciser.
Retournant à cet article et à tous les autres qui suivront, on y recense la vision personnalisée de la démocratie participative. Au point où la directrice de l’époque, Madame Mylène Goyer, influencée par l’élan de mes propos liés à la participation citoyenne, avait cru voir naître un comité citoyen à vocation large. La plate-forme des défis se précisera rapidement, puisque le comité choisira de s’engager à défendre la qualité de vie en ciblant plus particulièrement les méfaits de la pollution sonore. (L’Arc en ciel – Comité citoyens – Vol. 2, no 8, p. 19). On retrouve l’information à partir de publications en ce sens. (L’Arc en ciel – Environnement et projet citoyen : un profil d’avenir, Jeanne Gagnon, vol 2, no 9, et Plate-forme de défis et de solidarité citoyenne - Vol. 3, no 10, pp. 13-14).
Aujourd’hui, force est d’admettre que le cheminement du comité environnement s’inscrit à l’intérieur de balises liées à la démocratie participative. Deux exemples significatifs peuvent être donnés, à savoir : le dépôt de deux Mémoires au Conseil d’arrondissement et l’étude scientifique sur la pollution sonore sous la juridiction de l’Université de Montréal. Sous l’un et l’autre versant, le comité a donné visibilité politique aux défis d’une résidence pour aînés, tout en faisant de ceux-ci, une plate-forme de participation citoyenne avant-gardiste compte tenu d’une frange de population tenue « en général » pour une population plutôt passive.
Et maintenant, il se trouve que le cheminement des défis citoyens du comité environnement nous place face à l’étude du « pourquoi » et du « comment » aller plus loin. Car la démarche pourra être évolutive si des alliances de démocratie participative nous conduisent à des défis de quartier pouvant augmenter le pouvoir politique d’une telle démarche.
Arrivé à cet étape, le comité se doit d’étudier le bien-fondé d’une telle évolution. Sans compter que pour ce faire, le comité doit tout autant évaluer non seulement ses défis…mais aussi le besoin de renfort.
A suivre!
Note :
Je vous rappelle que le comité environnement souhaite toujours élargir la participation par l’arrivée de nouveaux locataires. Toute personne désireuse de participer à la feuille de route évolutive de ce comité serait la très bienvenue.
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