mardi 6 mars 2012

"La feuille de route du comité environnement"


Par : Jeanne Gagnon

A travers mon implication citoyenne,  j’ai pu rendre compte de la feuille de route du comité environnement de la Résidence Mile-End.  Ce que je continuerai de faire tout en optant pour la préservation de la totale liberté d’expression.  Ce qui veut dire que les futurs textes m’engageront unilatéralement.  

Évidemment, à l’occasion,  quelques textes pourront impliquer la signature des membres du comité environnement.  Je donnerai pour exemple concret ce qui, à l’occasion, voudra une  diffusion plus officielle. Ce qui interfère par une signature  des textes par le comité environnement.  Ce modèle de publication officielle  pourrait intervenir à brève échéance avec le bilan post sondage lié à la pollution sonore.

Par liberté d’expression,  j’entends poursuivre une réflexion personnelle qui s’est amorcée depuis le début, réflexion mettant en compte des défis citoyens par des aînés.  Défis pouvant également s’allier à des défis de quartier.  Je l’ai fait depuis la première heure sous l’angle de la démocratie participative.  Aujourd’hui, je le ramène en avant-plan.  On en trouve la trace d’origine dans le bulletin L’Arc en ciel – vol 2 no 2, p. 15.   Ce qui permet de replacer mes propos dans un contexte qui, par la suite,  va se préciser.   

Retournant à  cet  article et à tous les autres qui suivront,  on y recense la vision personnalisée de la démocratie participative.  Au point où  la directrice de l’époque, Madame Mylène Goyer, influencée  par l’élan de mes propos liés à la participation citoyenne, avait cru voir naître un comité citoyen à vocation large.  La plate-forme des défis se précisera rapidement,  puisque le comité choisira de s’engager à défendre la qualité de vie en ciblant plus particulièrement les méfaits de la pollution sonore.  (L’Arc en ciel – Comité citoyens – Vol. 2, no 8, p. 19).  On retrouve l’information à partir de publications en ce sens.  (L’Arc en ciel – Environnement et projet citoyen : un  profil d’avenir, Jeanne Gagnon,  vol 2, no 9, et  Plate-forme de défis et de solidarité citoyenne - Vol. 3, no 10, pp. 13-14).

Aujourd’hui,  force est d’admettre que le cheminement du comité environnement s’inscrit à l’intérieur de balises liées à la démocratie participative.  Deux exemples significatifs peuvent être donnés, à savoir : le dépôt de  deux Mémoires au Conseil d’arrondissement et l’étude scientifique sur la pollution sonore sous la juridiction de l’Université de Montréal.  Sous l’un et l’autre versant,  le comité a donné visibilité politique aux défis d’une résidence pour aînés, tout en faisant de ceux-ci,  une plate-forme de participation citoyenne avant-gardiste compte tenu d’une frange de population tenue « en général » pour une population plutôt passive.
Et maintenant, il se  trouve que le cheminement  des défis citoyens du comité environnement  nous place face à  l’étude du « pourquoi » et  du « comment »  aller plus loin.   Car la démarche pourra être évolutive si des alliances de démocratie participative nous conduisent à des défis de quartier pouvant augmenter le pouvoir politique d’une telle démarche.

Arrivé à cet étape, le comité se doit d’étudier le bien-fondé d’une telle évolution. Sans compter que pour ce faire, le comité doit tout autant évaluer non seulement ses défis…mais aussi le besoin de renfort. 

A suivre!

Note :
Je vous rappelle que le comité environnement souhaite toujours élargir la participation par l’arrivée de nouveaux locataires. Toute personne désireuse de participer à la feuille de route évolutive de ce comité serait la très bienvenue.

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