Lorsque ces dernières semaines dans Facebook, j'ai ramené aux faits et liens du conflit entre Israel et la Palestine , mes remarques n'impliquaient aucunement le révisionnisme mais
un retour sur des textes faisant appel à la reconnaissance de l’autre à travers
Justice – Droit – Identité.
L’interprétation
des faits à travers le mandat des Britanniques en 1917 renvoie à un territoire
scindé en deux et à un nationalisme chauffé à blanc (page 33 – Les faits – par J-C Chebat,
Tribune juive – février 2013).
J'estime que la reconnaissance
du nationalisme palestinien que vint incarner Yasser Arafat tarde à
s’enraciner. Cela dit en vue de faire
apparaître ce que pourrait parachever la
modernité, et ce, à partir d’une volonté citoyenne capable de se faire
émergente face aux divisions de la
grande communauté arabe. Entre temps, le leadership de Mahmoud Abbas fait le pont nécessaire. (Les faits – Par J-C
Chebat, p. 36).
Tout en
voulant me faire brève, je dirai que l’image
que veut projeter Israël, à savoir image de l'État démocratique défendu par son
armée, est une tromperie qui dessert la démocratie. Nous savons que ledit conflit politique
implique l’identité et la reconnaissance d’un
territoire. D’emblée, nous pouvons penser que pour arriver à une entente
viable, il faudra qu’intervienne ce qui me vient d’Albert Memmi (lettre du 13
mars 1987) à savoir « une solution
politique où chacun renonce à une partie de la totalité de ses droits. ».
On n’en
reste pas moins dans une vision de
reconnaissance de Justice – Droit –
Identité pour les parties en cause.
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