jeudi 24 juillet 2014

En bref… Faut-il parler de révision?


Lorsque ces dernières semaines  dans Facebook, j'ai  ramené aux faits et liens du conflit entre Israel et la Palestine , mes remarques n'impliquaient  aucunement le révisionnisme mais un retour sur des textes faisant appel à la reconnaissance de l’autre à travers Justice – Droit – Identité. 

L’interprétation des faits à travers le mandat des Britanniques en 1917 renvoie à un  territoire  scindé en deux et à un nationalisme chauffé à blanc (page 33 – Les faits – par J-C Chebat, Tribune juive – février 2013).

J'estime que la  reconnaissance du nationalisme palestinien que vint incarner Yasser Arafat tarde à s’enraciner.  Cela dit en vue de faire apparaître ce que  pourrait parachever la modernité, et ce, à partir d’une volonté citoyenne capable de se faire émergente face aux divisions  de la grande communauté arabe. Entre temps, le leadership  de Mahmoud Abbas  fait le pont nécessaire. (Les faits – Par J-C Chebat, p. 36).

Tout en voulant me faire brève, je dirai que l’image  que veut projeter Israël, à savoir image de l'État démocratique défendu par son armée, est une tromperie qui dessert la démocratie.  Nous savons que ledit conflit politique implique l’identité et la reconnaissance d’un  territoire. D’emblée, nous pouvons penser que pour arriver à une entente viable, il faudra qu’intervienne ce qui me vient d’Albert Memmi (lettre du 13 mars 1987) à savoir  « une solution politique où chacun renonce à une partie de la totalité de ses droits. ».

On n’en reste pas moins dans une vision  de reconnaissance de  Justice – Droit – Identité pour les parties en cause.


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