Les États
généraux du féminisme sont maintenant de nos mémoires et archives! Ils m’ont permis de confirmer le besoin d’une distance avec la Fédération des femmes
québécoises (FFQ), lequel besoin m’interpellait depuis 2012. Je compte revenir sur les détails dans un
proche avenir.
En
bref…disons que par les États généraux se confirme mon refus de toute
manipulation à travers théories et idéologies.
Je suis dégoutée par la
manipulation des idéologies, mais aussi par les stratégies de musellement intervenant alors qu’on se veut " reflet de
la démocratie" en marche! Je l’ai rêvé cette
parfaite symbiose alors qu'elle se fait toujours attendre...et les États généraux m'ont permis d'en faire le constat. Au premier degré, il reste encore à travailler sur l’éducation
de la base face aux théories et idéologies.
Sans oublier la liberté d’expression, et ce, en dehors de menaces subtiles visant à
museler.
La FFQ
est en mutation et certaines des propositions venaient le confirmer
officiellement à travers l’intersectionnalité.
De même, par cette intention d’explorer les théories – pratiques – idées des Mouvements GBTQLA
(Lesbiennes-Gais-Bisexuels-Transexuels-Queers-Intersexuels-Asexuels) en vue de
saisir des opportunités de luttes communes dans des perspectives
féministes.
Ce qui
met en compte la volonté d’actualiser des intentions politiques où la
consultation pourrait se voir – encore là – manipulée et à contre courant de
mes idéaux philosophico-politiques.